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Découvrez le programme de Grasse à Tous!En cliquant sur le lien ci-dessous, vous découvrirez le programme de Grasse à Tous. N'hésitez pas à le faire connaître le plus largement possible autour de vous! grasseatous.viabloga.com/files//ProgrammeGrasseaTous.pdf Commentaires← Re:bon je n'ai pas tout lu d'un coup ; c'est dense ; j'ai bien retenu que nous agirons (vous et nous) de manière plus démocratique ; le peuple ne s'exprimera pas uniquement par le vote voire les referendum ; il sera plus écouté, plus "intelligent" moins passif ; à relire car c'est compliqué pour le quidam : avec la politique de l'agglo, que devenait (devient) Grasse ? Une mini révolution dans la manière de gérer la commune, un maire oui mais surtout une équipe...nouvelle ; il nous faut avoir les moyens de nos ambitions mais je suis pour le changement ; un maire ne devrait pas rester plus de 12 ans sauf dans les toutes petites communes.....un président ne doit avoir qu'un mandat : plus de politique statique même s'il faut du temps pour les réformes et leurs retombées ; faut laisser la place aux collègues pour ne pas laisser s'installer les mauvaises habitudes ; faut toujours avoir en tête l'impermanence des choses ....comme ça on reste humble malgré l'ampleur de la tâche.
l'ouverture au coeur du programme
Le programme est le résultat du travail de 6 commissions et la démarche d'ouverture en a été le fil conducteur. Vous avez dit "ouverture" ?
Sans remonter au lendemain de la libération, le dernier signe fort d'ouverture politique c'est Sarkozy qui l'a fait. Il faut croire que la démarche a fait des émules, aussi bien à droite qu'à gauche, les combinaisons diverses et variées de ces élections municipales en apportent chaque jour la preuve. L'heure est à l'ouverture qu'on le veuille ou non, le discours est au rassemblement des bonnes volontés, des compétences, des engagements citoyens etc... L'ouverture a de l'avenir notamment chez les jeunes moins politisés, moins structurés idéologiquement. Et c'est vrai que l'ouverture a ses bons côtés, surtout parce qu'elle fait une part plus importante aux NUANCES (il y a des valeurs partagées qui ne sont pas plus des appartenances à la "droite" qu'à la "gauche" et on peut même se rendre compte dans les discussions que les différences entre les personnes sur certains sujets sont beaucoup moins tranchées politiquement qu'on le pense...) Au bout du compte, les municipales 2008 marqueront un tournant dans les pratiques politiques de ce pays en terme de banalisation de l'ouverture au plan local. Pour autant, dans l'avenir, la question qu'il faudra continuer à se poser (parce qu'elle s'est déjà posée pour les municipales actuelles) c'est, non pas de savoir s'il faut ou non une liste ouverte, s'il faut ou non dépasser le clivage des partis, mais se poser la question des critères d'une ouverture acceptable, quelles en sont les bornes tolérables, les limites au-delà desquelles l'ouverture n'est plus un enrichissement de talents divers, mais un attelage politique de circonstance, un marchandage électoral allant jusqu'à renier certaines valeurs, passant sous silence les questions qui fâchent sur l'éducation, l'immigration, le servive public... bref, jusqu'où faut-il cultiver l'ouverture d'esprit et la nuance sans renier un certain nombre de principes qui, qu'on le veuille ou non, sont toujours à la base des choix politiques et des pratiques d'une municipalité. "Grasse à tous" n'échappe pas, et c'est normal, à cette nouvelle problématique. Ce qu'on peut dire c'est que la qualité du programme tel qu'il est présenté donne du crédit à cette stratégie d'ouverture initiée par P. Euzière. En ce sens, les valeurs souterraines en matière de partage des informations, de participation démocratique, de transparence, de gestion des finances publiques, d'élargissement culturel et sportif, de solidarité, de maîtrise des moyens de communication et de préservation de l'environnement, parce qu'elles mettent le citoyen au centre des préoccupations (et pas uniquement l'économie), échappent à une simple ouverture politicienne de circonstance. Si certains de nos détracteurs ont raison de nous interpeller sur le sens de cette ouverture, si la vigilance s'impose et s'imposera dans son application, dans son affinement, la réalité du programme actuel montre que les dérives n'ont pas eu lieu et donc leurs critiques sur ce point ne sont pas fondées. Au contraire, sur les grands dossiers qui préoccupent les habitants, le programme a réussi à traduire en verbes d'action les valeurs qui nous rassemblent. Il reste à le faire comprendre à tous les grassois.
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alias Colette
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A Grasse, la politique du logement ne répond que très partiellement aux besoins du plus grand nombre. Les logements sont le plus souvent inaccessibles aux plus modestes, voire aux revenus intermédiaires. Les produits les plus chers sont privilégiés. Il suffit pour cela de reprendre les propos tenus samedi sur le thème du logement par le Maire sortant Jean-Pierre LELEUX, lors de l’émission de FR3. Je cite : " 70 % des habitants de grasse sont éligibles au logement social ; il faut 4 SMIC pour un F3 et 7 SMIC pour un F5 ". Quand on sait que le SMIC est à 1005,37 € nets, il faut donc gagner 4021,48 € nets/mois pour un F3 ou 7037,59 € nets/mois pour un F5 ! ! ! ! Monsieur LELEUX n’a fait qu’indiquer le prix du marché immobilier privé actuel, mais certainement pas celui du logement social. Ce n’est pas surprenant ! ! ! !
le programme fait une offre d'"ouverture" et un appel aux bonnes volontés. Bravo ! Ce qu'il nous faut c'est l'élan d'une équipe "nouvelle ", dynamique et intègre, qui fasse avancer les dossiers.C'est ça l'ouverture, c'est la fermeture à tous les gaspillages et autres formes de combines coûteuses. C'est ce que semble nous proposer Grasse à tous, quoi !
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Un programme clair et qui fait bien la part des choses entre problèmes et propositions.
Le gens sont réceptifs aux propositions. Cependant, certains se demandent pourquoi, si la commune est si endettée, pourquoi alors autant de constructions de logements ? Sur quels fonds ces logements ont-ils été engagé ? Sur les facades idem, comment une ville peut-elle se payer de telles rénovations, si elle n'a pas le sou ? Enfin, pour les réhabilitaions : Clavecin, boulevard du jeu de ballon etc... comment concevoir qu'une ville à ce point en déficit puisse se permettre d'engager de telles dépenses ? La politique d'endettement (sur 20 ans) expliquerait-elle à elle seule toutes ces dépenses ?