La salle polyvalente de Saint-Jacques était trop petite, beaucoup trop petite, pour accueillir la foule qui est venue dire adieu à Georges Vassallo. Sa famille, ses amis, ses camarades, des élus* toutes tendances confondues, le personnel municipal et des anonymes sont venus rendre un dernier hommage à celui qui fut non seulement maire de la Ville de Grasse, Vice-président du Conseil régional Provence Alpes Côte d’Azur mais aussi et surtout à l’homme de convictions et d’engagement. Sa jovialité, sa bonne humeur et son humour étaient appréciés de tous, Georges Vassallo était un homme de dialogue, brillant et accessible.
- *Étaient notamment présents André Aschieri, Guy Bargain, Bernadette Betheuil- Ramin, Pierre Bernasconi, Louis Broch, Patrice Cattaert, Bruno Estampe, Joëlle Faguer, Louis Fiori, Robet Injey, Thierry Lautard, Marcelle Monzéglio, Georges Rakatovao, Jacques Tiberi, Jacques Victor. Des représentants du monde syndical, associatif, des collègues de l’enseignement.
- Paul EUZIERE, Président de Grasse A Tous
Chère Pierrot,
Chère Sylvie,
M. le Sénateur Maire, Mesdames et messieurs les élus
Chers Amis,
Il est toujours difficile, surtout quand la peine nous serre le cœur, d’évoquer une personnalité comme celle de Georges Vassallo avec qui nous avons partagé tant de combats, tant d’espérances depuis cette année 1973 où il est revenu s’établir à Grasse.
D’abord, un souvenir, précis. C’était un après-midi ensoleillé de l’automne 1976 et nous descendions, avec Gilbert Andruccioli et Georges distribuer un tract à la sortie de l’Usine Bertrand Frères, alors à Font Laugière.
Gilbert essayait de convaincre Georges de conduire la liste aux élections municipales du mois de mars 1977.
Georges n’était pas d’accord. Il nous opposait force arguments auxquels nous répliquions.
Tout d’un coup, il s’arrête et nous dit : ˝Imaginez que l’on gagne. Je me retrouverai maire et je ne m’en sens pas du tout capable ...˝
˝Pas capable˝ !
Il nous a prouvé quelques mois plus tard que non seulement il était ˝capable˝, mais qu’il allait être un brillant maire ; exigeant envers les autres en premier lieu -nous les élus- comme il l’était avec lui-même, avec, toujours chevillé au corps, l’intérêt public et l’amour de notre ville.
J’étais alors, avec Roland Blanc qui fut adjoint spécial de ce hameau de St Jacques, le benjamin d’une équipe qui comptait des figures exceptionnelles, qui forçaient le respect tant leur engagement et leur dévouement étaient grands.
J’en citerai seulement deux, Albert Macarry et Frédéric Righetti trop tôt disparus, mais dont tous les Grassois peuvent être fiers parce qu’ils ont porté au plus haut point les qualités humaines et morales de ces Maîtres d’École de la République pour qui la Liberté, l’Égalité et la Fraternité sont des valeurs qui se déclinent au quotidien.
Georges Vassallo était de cette même veine, exigeante et chaleureuse, toujours loyale aussi à l’égard des siens comme des adversaires.
Loin du bla-bla-bla, il fallait du concret, s’emparer des dossiers, les étudier et les mener à bien.
Ça n’allait pas sans frictions ni sans affrontements parfois rudes.
Mais immanquablement, en bout de course, l’accord finissait par se faire à partir de l’intérêt général.
Parce que d’intérêts particuliers, dans cette équipe qui était soudée autour de Georges, il n’y en avait pas.
Georges Vassallo était communiste et il est toujours resté fidèle à l’idéal d’émancipation humaine de ses 20 ans.
Ce serait trahir sa mémoire que gommer cet engagement d’un demi-siècle.
Mais là encore, c’était avec une exigence, des colères, une ironie parfois cinglante, toujours salutaire.
En même temps Georges était un homme de dialogue, par tempérament et par conviction.
Pour lui, les affaires municipales n’étaient pas l’affaire du seul maire ou même du seul Conseil municipal, mais elles devaient associer la population.
Les gens devaient avoir leur mot à dire. Et il fallait les écouter.
Ce qui impose d’accepter les différences d’idées, les divergences et même les oppositions.
Une ville est riche non seulement de ses différences, mais aussi de ses oppositions.
Ce sens du dialogue et de l’écoute, ce respect des autres, ont profondément marqué notre ville.
Dans l’histoire des maires de Grasse, Georges Vassallo a laissé en héritage la belle empreinte d’un maire qui sans jamais renier son idéal a su se mettre au service de tous ...
Nous pouvons en être fiers.
Cette empreinte est une belle empreinte.
Votre présence à cet hommage aujourd’hui le prouve.
Merci donc à Georges pour ce que tu as fait, pour l’exemple donné.
Merci à vous tous d’avoir tenu à partager ces moments d’émotion et de respect.
J’ai 15 ans depuis moins de 3 mois quand la Directeur de l’Ecole Normale de Nice, annonçant les résultats du concours d’entrée prononce mon nom. Celui qui le suit est Georges Vassallo.
- Gilbert Andruccioli, Président d'Agora, ancien conseiller municipal
J’ai 15 ans depuis moins de 3 mois quand la Directeur de l’Ecole Normale de Nice, annonçant les résultats du concours d’entrée prononce mon nom. Celui qui le suit est Georges Vassallo.
J’ai souvent pensé, au cours de toutes ces années que cette proximité était le signe précurseur d’un destin qui allait nous faire partager tant de choses importantes tout au long de notre vie.
Georges venait du Cours complémentaire Risso, de Nice. Ses parents, son père ébéniste et sa mère femme de ménage venaient de Tende.
Nous avons vécu notre adolescence à l’Ecole normale de Nice, dans une promotion peu nombreuses au sein d’un établissement d’une centaine d’élèves.
Georges était un étudiant brillant, sportif, débordant d’énergie, de joie de vivre, doté d’un humour ravageur. Il apparut très vite comme celui auquel il était naturel de confier des responsabilités du fait de sa forte personnalité, de l’attention qu’il accordait aux autres, de son exigence intransigeante de justice.
Nous étions nombreux à avoir conscience du prix de notre situation d’étudiants boursiers que la Nation prenait en charge et formait pour qu’ils deviennent éducateurs. Les normaliens, pour la plupart, s’ils ne l’exprimaient que rarement, ressentaient la même reconnaissance pour cette école de la République, ouverte, laïque, généreuse, sans laquelle ils n’auraient pu poursuivre d’études.
Georges et moi-même avions des raisons particulières de la ressentir plus fortement encore.
Car la République, me concernant, avait accueilli, alors qu’ils étaient encore enfants, mes parents qui, avec leurs familles, fuyaient le fascisme italien. Et elle avait accueilli Georges avec le rattachement de Tende et la Brigue à la France. Pour moi, pour lui, être citoyen du pays qui avait fait la Révolution de 1789 et inscrit « Liberté, Egalité, Fraternité » au fronton des bâtiments publics n’était pas une chose de peu d’importance !
Et, devenir instituteurs !
« Instituteurs, de institutor, celui qui établit…celui qui institue l’humanité dans l’homme : quel beau mot !» Nous ne connaissions pas, alors, cette phrase de Mauriac mais nous devinions que ce métier serait pour nous un engagement citoyen.
C’est au cours de l’été 1956 que l’avenir de Georges allait, pour une grande part, se dessiner.
Engagé comme moniteur dans la colonie de vacances des enfants de prisonniers de guerre à Bendéjun, il fit la connaissance d’ Albert Maccary, directeur de l’Ecole de Plascassier. Ce fut la rencontre de deux personnalités ensoleillées habitées par un optimisme et un enthousiasme que rien ne pouvait atteindre.
Georges découvrit dans son aîné les qualités de l’instituteur qu’il souhaitait devenir, le pédagogue du bonheur et de la réussite offerts aux enfants, le militant infatigable engagé pour le progrès social, la justice, la liberté et la paix. Pendant plusieurs années, Georges exerça sa fonction de moniteur chef auprès d’Albert Maccary : une amitié était née, qu’aucun nuage ne vint jamais ternir.
Pour Georges, sa vocation d’éducateur, son aspiration à aider les enfants à s’approprier la connaissance, à devenir des citoyens conscients, des hommes libres, ne pouvait se concevoir si elle ne s’accompagnait pas de l’action pour une société plus juste, pour que les idéaux républicains, Liberté, Egalité, Fraternité deviennent des réalités sociales quotidiennes. Ce besoin d’action il le traduisit, comme Albert Maccary par son adhésion au Parti Communiste Français.
A Bendéjun, l’été 1956, Georges ne rencontra pas seulement son engagement politique. Il y rencontra une Grassoise, Pierrette Hugues, notre chère Pierrot, qui allait devenir son épouse en 1958 et l’accompagner tout au long d’une vie extraordinairement riche.
Sorti de l’Ecole Normale, Georges rejoint son premier poste : il enseignera les mathématiques au Collège de Sospel.
Avant de partir pour le service militaire, il vient à Grasse, et enseigne quelques mois à l’Ecole Gambetta. Sa rencontre avec Jean Cuméro ne fera que conforter la réalité de sa vocation pédagogique et de son engagement politique.
C’est à l’Ecole de Cavalerie de Saumur qu’il est incorporé. Il y réussit brillamment, en sort major avec le grade de Sous-Lieutenant. Il est volontaire pour servir en Algérie et sera rendu à la vie civile en septembre 1962. Militant contre la guerre et contre le colonialisme il a montré qu’il était un homme de devoir et de courage.
Georges est alors nommé au Collège de Saint-Étienne de Tinée et devient papa. C’est en 1962
qu’Eric est né et, un an plus tard c’est Sylvie qui verra le jour.
En 1965, Georges est nommé à Saint-Dalmas de Tende pour y diriger le Collège qui est installé dans l’ancienne gare. Il y déploie une activité intense. Outre son activité de chef d’établissement, il multiplie les initiatives périscolaires, organise les fêtes du village, le ski scolaire. Après mai 68, il participe au groupe départemental qui travaille à la rénovation de l’enseignement des mathématiques et cela pendant plusieurs années.
Cela ne lui suffit évidemment pas. Il s’engage dans l’action pour obtenir la construction d’un collège neuf. Soutenu par les enseignants et les parents d’élèves il obtient la mise en chantier du nouvel établissement. Saint-Dalmas de Tende reconnaît ses exceptionnels mérites et en 1971, Georges Vassallo est élu conseiller municipal. Le ciel est tombé sur la tête de José Ballarello : pour la première fois dans l’histoire de la ville il y a un élu communiste au Conseil municipal de Tende !
C’est en septembre 1972 que Georges est nommé professeur de mathématiques au Collège Carnot à Grasse. Bien que jusqu’alors, il y ait très peu séjourné, son arrivée a été vécue comme un retour par plusieurs d’entre nous. Par moi-même évidemment, par Albert Maccary, Jean Cuméro, mais aussi de très nombreux enseignants qui le connaissaient très bien car, je ne l’avais pas encore souligné, Georges occupait une place éminente dans le syndicalisme enseignant depuis son entrée à l’Ecole normale.
Ce n’est pas le militant politique que les Grassois ont découvert. Ils ont d’abord apprécié le professeur de maths, le pédagogue attentif, le syndicaliste enseignant qui, à Grasse aussi, prit la tête du Comité de défense du collège Carnot, rassemblait ses collègues et les parents d’élèves pour obtenir l’extension de cet établissement surpeuplé.
En fait, Georges n’a jamais été un homme de parti. Les organisations auxquelles il a appartenu ont été pour lui, simplement, des outils où des femmes et des hommes solidaires agissaient ensemble pour avancer vers son idéal de liberté, d’égalité, de fraternité, de justice et de paix. Il pouvait s’agir d’associations diverses, de syndicats, de clubs sportifs, de parti politique.... Jamais il n’a recherché de place, de fonction, de pouvoir dans aucune de ces organisations.
Aussi, c’est avec incrédulité qu’il accueillit, quelques mois avant l’élection municipale de 1977, la proposition de conduire la liste d’Union de la gauche.
Mais, disait-il, c’est à Albert que revient la tête de liste, il a l’expérience, il est le meilleur d’entre nous ! Certes, mais Albert Maccary était arrivé à la conclusion que nos chances de victoire seraient plus grandes avec un candidat nouveau !
Oui, bien sûr… Georges tenta alors de faire croire que je serais, moi, le meilleur candidat !
Oui, c’est la seule fois où nous nous sommes un peu disputés. Mais je l’ai convaincu Aujourd’hui, encore, j’en suis heureux et fier.
Dans un contexte national favorable, avec une situation locale peu banale, le prodigieux charisme de Georges, la solidarité des candidats, le dévouement des militants, l’enthousiasme de Grassois de toutes origines et de toutes opinions permirent une victoire que personne ne croyait possible.
Paul Euzière a rappelé quelle fut la philosophie qui anima son action. Celles et ceux qui ont l’âge de l’avoir connue savent tout de sa gestion démocratiquement conduite, en toute transparence, au service de tous. Il leur revient d’en informer les plus jeunes.
Souriant, chaleureux, tolérant et ouvert aux autres, Georges Vassallo était un travailleur infatigable, d’une volonté tout entière vouée à la réussite des projets dès lors qu’ il avait acquis la certitude qu’ils étaient bons pour l’intérêt général. Il était aimé et respecté. Son action était appréciée bien au-delà de sa famille politique.
En 1980, au milieu de son mandat, Georges et les siens furent frappés par le décès d’Eric. Ce drame, aussi douloureux qu’il fut, et qui l’est toujours, révéla leur courage et leur dignité.
Soutenu par les siens et ses amis, Georges fit face à l’adversité avec une totale abnégation et poursuivit sa tâche sans défaillance.
En 1983, la municipalité sortante fut victime des enjeux nationaux qui s’étaient imposés dans la campagne municipale.
Georges quitta sa fonction de maire, sans dépit ni rancœur. Il avait la tranquille assurance de celui qui a agi en conscience, dans le respect des valeurs républicaines qu’il a toujours servies,
sans jamais avoir failli à l’honneur et au droit.
Il siégea alors dans les rangs de l’opposition, continuant à apporter son talent à l’assemblée municipale.
Il reprit tranquillement, mais toujours avec autant de passion son métier d’enseignant. Principal adjoint à Vence, puis à Menton il initia beaucoup de ses collègues aux nouvelles méthodes de gestion informatique des emplois du temps et des fichiers de la vie scolaire.
En 2001, il céda à notre amicale pression et conduisit la liste communiste à l’élection municipale. Il quitta le Conseil Municipal quelques mois plus tard afin de permettre à un nouveau candidat de siéger.
Georges nous quitte aujourd’hui. Après un combat courageux et opiniâtre contre une maladie qu’il savait ne pas pouvoir vaincre. Il nous quitte au terme d’une vie riche, intense, exemplaire, remplie d’enthousiasme, d’espoir, de luttes, de grandes joies et de dures épreuves aussi.
Une vie au service de l‘Homme, dans la fidélité, l’honneur et l’amitié.
Pierrot, Sylvie, Loeis, Jacques, vous tous ses amis, rappelez vous ce qu’écrivait Marcel Pagnol dans « La Gloire de mon père » et qui décrit si bien le parcours de Georges, dont nous sommes si fiers :
« J’en ai vu beaucoup de ces maîtres d’autrefois.
Ils avaient une foi totale dans la beauté de leur mission, une confiance radieuse dans l’avenir de la race humaine. Ils méprisaient l’argent et le luxe, ils refusaient un avancement pour laisser la place à un autre, ou, pour continuer la tâche dans un village déshérité…
… « Comme les prêtres », disait mon père, « nous travaillons pour la vie future ; mais nous, c’est pour celle des autres. »
Merci, Georges.
- Jean-Pierre Leleux - Sénateur Maire de Grasse
˝Je veux saluer avec respect et tristesse la mémoire de l’Homme, du militant et du maire de Grasse qu’il fut.
L’Homme, affable et souriant, le militant politique, qui mit toute son énergie et sa sincérité au service de ses convictions ; le maire de Grasse qui fut, quotidiennement, de 1977 à 1983, au service et à l’écoute de sa ville et de ses concitoyens.
Au-delà de la divergence de nos chemins politiques, je le tenais en grande estime, et nourrissais à son égard, de réels sentiments de respect et d’affection.
Au nom du Conseil municipal et en mon nom personnel, j’adresse à sa famille et à ses proches, mes plus sincères condoléances˝.
- Me Hervé de Fontmichel - Maire honoraire de Grasse
˝Nous nous sommes souvent affrontés au cours de mémorables campagnes électorales.
J’avais pour lui une très grande amitié, il était un homme cordial, loyal, chaleureux et courageux.
Grasse conservera son souvenir ému, je suis profondément attristé par sa disparition.
A sa famille et ses très nombreux amis, j’adresse mes plus douloureuses condoléances˝.
- André ASCHIERI - Maire de Mouans Sartoux - Conseiller régional PACA
˝C’est une figure à la fois citoyenne et politique de la ville de Grasse qui nous quitte. Homme de dialogue, d’engagements et de convictions, il a été une sentinelle pour tous les élus grassois de gauche qui se sont alignés à ses côtés, tant pour son honnêteté, son sens du dialogue et de la justice sociale.
Lorsqu’il a été élu maire de Grasse, de 1977 à 1983, Georges Vassallo a toujours œuvré pour l’ensemble des Grassois et parfois au-delà lorsqu’il occupait le siège de Vice-président du Conseil régional, sans a priori aucun, toujours avec dévouement, écoute et sincérité.
Par son engagement, Georges Vassallo a marqué à jamais l’histoire de la ville de Grasse et restera un exemple pour tous, au-delà des clivages et des appartenances.
A sa famille et ses très nombreux amis, j’adresse mes condoléances attristées."
- Bruno Estampe - Groupe ˝Grasse c’est vous˝
˝Comme tous les Grassois nous gardons le souvenir d’une période de l’histoire de Grasse où la préoccupation d’équité et de justice sociale prévalait dans la gestion municipale, c’était lorsque Georges Vassallo était maire de notre ville.
Profondément touchés par son décès, nous tenons à rendre hommage à l’homme engagé qu’il a été.
Nos pensées vont à sa famille et à ses proches que nous assurons de notre solidarité dans la peine qui les touche˝.
- Thierry Lautard - Conseiller général PS des A.M de 1998 à 2004
˝Georges Vassallo a su ouvrir les portes de l’espoir, unir la gauche et démontrer qu’une autre politique était possible à Grasse.
Son action a servi de point de repère aux différents élus grassois de gauche à qui la population a, par la suite, confié un mandat.
En cela, il a été novateur et précurseur˝.
Serge BECOT - Ancien Conseiller Municipal délégué 1977-1983
Serge BECOT - Ancien Conseiller Municipal délégué 1977-1983
Profondément attristé par la disparition de Georges VASSALLO,
je veux rendre ici un hommage à cet homme de valeur, de grande qualité en gardant
une certaine fierté d'avoir été membre de son Conseil Municipal.
Au dela de notre sensibilité politique différente, il restera, l'homme de dialogue, sincère,
que j'ai connu, qui m'a fait confiance au travers une délégation (transports en commun).
Un Maire, honnête, dévoué, disponible à l'écoute de l'ensemble des Grassois,
un exemple de justice sociale pour tous.
Merci Georges pour ce que tu as fait pour la Ville de Grasse.
A sa Famille, proches et nombreux amis, j'adresse mes sincères condoléances