Le fonctionnement des collectivités, les investissements – et donc les besoins, les priorités- doivent être largement débattus, à l’échelle d’une rue, du quartier, de la commune et même de
Le débat doit être permanent, les projets doivent être construits avec le plus grand nombre et pour l’intérêt général.
C’est évidemment l’intérêt collectif qui doit servir de ligne directrice ; mais c’est aussi une vision de la société qui va encadrer cette réflexion.
Que ce soit au niveau de la nation, ou celui de la commune, les discriminations, la baisse du pouvoir d’achat, les emplois à temps partiels et l’abandon des 35 heures, le manque de logements pour les revenus modestes, les problèmes de santé publique qui se profilent avec le manque de moyens des hôpitaux, et les franchises, et la liste serait encore longue, ne sont pas le fruit d’une mauvaise gestion mais la conséquence de choix économiques et politiques nettement affichés.
Il faut faire le choix d’autres valeurs, solidaires s’appuyant sur d’autres critères que la recherche de profits privés de quelques uns.
Nous devons créer une vie démocratique dans la cité, avec un budget participatif qui donne un réel pouvoir de décision aux citoyennes et citoyens.
Une démarche liée à une autre vision de la politique municipale :