Nous sommes à Grasse et entrés dans le XXIème siècle il y a vingt ans.
Depuis 1880, dans certaines villes de France et depuis un siècle dans la plupart, les habitants ont accès à l'eau potable à leur robinet.
Depuis octobre, et administrativement depuis l'arrêté du Préfet des Alpes-Maritimes du 11 décembre, les Grassois ne disposent plus de ce qui est un droit élémentaire et une obligation légale des municipalités (L'article L. 2224-7-1 du Code Général des Collectivités Territoriales).
Depuis 1880, dans certaines villes de France et depuis un siècle dans la plupart, les habitants ont accès à l'eau potable à leur robinet.
Depuis octobre, et administrativement depuis l'arrêté du Préfet des Alpes-Maritimes du 11 décembre, les Grassois ne disposent plus de ce qui est un droit élémentaire et une obligation légale des municipalités (L'article L. 2224-7-1 du Code Général des Collectivités Territoriales).
C'est une situation sans précédent, scandaleuse pour une ville de 50 000 habitants, Sous-Préfecture du département des Alpes- Maritimes, "Capitale mondiale des Parfums"...
La gestion de l'eau peut être en régie municipale - ce qu'elle était à Grasse jusqu'en 1988- ou bien déléguée au privé, à La Lyonnaise-Suez depuis qu'en 2012, M. Leleux et sa municipalité ont fait voter (malgré l'opposition des élus Grasse à Tous) une Délégation de Service Public pour 20 ans.
Aujourd'hui Suez ne remplit plus le contrat passé avec la ville de Grasse ni ses obligations vis à vis des abonnés.
Aujourd'hui Suez ne remplit plus le contrat passé avec la ville de Grasse ni ses obligations vis à vis des abonnés.
Suez a rompu, de fait, son contrat.
Les Grassois n'ont pas à payer deux fois, voire trois fois, leur eau !
Ils n'ont pas non plus à payer pour l'incurie et l'irresponsabilité de leurs maires.
M. Leleux et M. Viaud ont laissé se dégrader le canal du Foulon, malgré tous nos avertissements.
Ils n'ont pas pris les mesures de protection des sources pourtant obligatoires depuis janvier 1997!.
Vingt-trois ans de laisser-aller et de laisser faire !
Le journal spécial sur l'eau publié par Grasse à Tous fait le point sur cette histoire et rappelle les positions des uns et des autres.
Il rappelle aussi les textes légaux que doivent respecter aussi bien la ville que son délégataire Suez.
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